
Joyeux Noël !!!
Et très belle année littéraire 2018 à tous !!!
Café Gourmand composé d'un assortiment de toutes les littératures, généreusement saupoudré de coups de coeur et pimenté d'un grain de folie...
 A bord du vaisseau spatial USS Enterprise, commandé par le Capitaine Kirk assisté de M. Spok, originaire de la planète Vulcain, l'équipage a pour mission d'explorer l'univers et découvrir de nouveaux mondes. L'Homme s'unit à d'autres espèces intelligentes de la galaxie pour former la Fédération des Planètes Unies. Chacune des séries télévisées reflète des questions de son époque.
A bord du vaisseau spatial USS Enterprise, commandé par le Capitaine Kirk assisté de M. Spok, originaire de la planète Vulcain, l'équipage a pour mission d'explorer l'univers et découvrir de nouveaux mondes. L'Homme s'unit à d'autres espèces intelligentes de la galaxie pour former la Fédération des Planètes Unies. Chacune des séries télévisées reflète des questions de son époque. La Première Guerre mondiale ou Grande Guerre (28 juillet 1914-11 novembre1918) est un conflit sans précédent dans l'Histoire par son échelle, le nombre de ses morts et l'ampleur des destructions matérielles. La guerre est déclenchée par l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche le 28 juin 1914 à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine). En France, la mobilisation générale est décrétée le 2 août 1914. S'ensuivent quatre années d'une guerre de position, dite "guerre des tranchées", dont le front s'étend en Europe sur près de 700 kilomètres. Conflit d'un genre nouveau puisqu'il marque également les débuts de la guerre aérienne, l'emploi des chars et des gaz, il se solde par neuf millions de morts et des pays dévastés.
La Première Guerre mondiale ou Grande Guerre (28 juillet 1914-11 novembre1918) est un conflit sans précédent dans l'Histoire par son échelle, le nombre de ses morts et l'ampleur des destructions matérielles. La guerre est déclenchée par l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche le 28 juin 1914 à Sarajevo (Bosnie-Herzégovine). En France, la mobilisation générale est décrétée le 2 août 1914. S'ensuivent quatre années d'une guerre de position, dite "guerre des tranchées", dont le front s'étend en Europe sur près de 700 kilomètres. Conflit d'un genre nouveau puisqu'il marque également les débuts de la guerre aérienne, l'emploi des chars et des gaz, il se solde par neuf millions de morts et des pays dévastés. Sir Winston Leonard Spencer Churchill (1874-1965) est un homme d'Etat britannique. Il laisse dans l'Histoire l'image d'un homme dont la volonté de fer au cours de la Seconde Guerre mondiale fut un acteur déterminant de la victoire alliée contre l'Allemagne de Hitler. Alors que la débâcle française laisse la Grande-Bretagne seule face à l'Allemagne hitlérienne, Churchill sait très vite galvaniser l'effort de guerre britannique pendant la bataille d'Angleterre. Son autorité est alors indiscutée. Il tisse des liens avec la France libre, quand Roosevelt hésite encore à faire confiance au Général de Gaulle. En même temps, il privilégie l'alliance américaine, seul moyen selon lui d'assurer la victoire. Tout au long d'une carrière politique à la longévité exceptionnelle, Churchill lutta aussi contre le déclin de l'Empire britannique.
Sir Winston Leonard Spencer Churchill (1874-1965) est un homme d'Etat britannique. Il laisse dans l'Histoire l'image d'un homme dont la volonté de fer au cours de la Seconde Guerre mondiale fut un acteur déterminant de la victoire alliée contre l'Allemagne de Hitler. Alors que la débâcle française laisse la Grande-Bretagne seule face à l'Allemagne hitlérienne, Churchill sait très vite galvaniser l'effort de guerre britannique pendant la bataille d'Angleterre. Son autorité est alors indiscutée. Il tisse des liens avec la France libre, quand Roosevelt hésite encore à faire confiance au Général de Gaulle. En même temps, il privilégie l'alliance américaine, seul moyen selon lui d'assurer la victoire. Tout au long d'une carrière politique à la longévité exceptionnelle, Churchill lutta aussi contre le déclin de l'Empire britannique.  Le 6 mai 1945, un navire de la Royal Navy stationne au large des îles anglo-normandes. Demande est faite aux autorités allemandes de se rendre. L'amiral Hüffmeier rétorque qu'il ne reçoit d'ordre que de son gouvernement. Le 8 mai 1945, l'Allemagne capitule. Dans son célèbre discours de la victoire, Winston Churchill n'oublie pas les îles anglo-normandes. A Jersey et Guernesey, ce n'est que le 9 mai au matin que l'amiral Hüffmeier se résout à rendre les armes.
Le 6 mai 1945, un navire de la Royal Navy stationne au large des îles anglo-normandes. Demande est faite aux autorités allemandes de se rendre. L'amiral Hüffmeier rétorque qu'il ne reçoit d'ordre que de son gouvernement. Le 8 mai 1945, l'Allemagne capitule. Dans son célèbre discours de la victoire, Winston Churchill n'oublie pas les îles anglo-normandes. A Jersey et Guernesey, ce n'est que le 9 mai au matin que l'amiral Hüffmeier se résout à rendre les armes. Philippe IV dit Philippe le Bel ou le Roi de Fer (1268 - 1314), de la dynastie des Capétiens, fut roi de France de 1285 à sa mort en 1314. Fils de Philippe III le Hardi et d'Isabelle d'Aragon, il intervient en Flandre, provoquant un soulèvement général. Battu par les milices urbaines à Courtrai (1302), il parvient néanmoins à soumettre les cités en 1304. Par ailleurs, il étend son royaume à l'est. Mais son règne est avant tout marqué par le grave conflit l'opposant au pape Boniface VIII. Entouré de légistes (Pierre Flote, Enguerrand de Marigny, Guillaume de Nogaret) imbus de l'idée de la toute-puissance royale, Philippe le Bel cherche à renforcer ses prérogatives. Le conflit débute à propos de la levée des décimes (1296) et rebondit avec l'arrestation par le roi de l'évêque de Pamiers (1301). Sur le point d'excommunier Philippe le Bel, le pape est victime à Anagni (Italie) d'une conjuration ourdie par Nogaret (1303). L'élection de Clément V (1305), qui s'installe en Avignon, marque la victoire complète du roi de France. A l'intérieur, Philippe le Bel, animé par une volonté centralisatrice, accroît l'importance de la chancellerie et de l'hôtel du roi, et précise le rôle des parlements. Aux prises avec de graves difficultés  financières, il s'en prend aux Juifs et aux banquiers (les Lombards) dont il confisque les biens avant de les bannir. Puis il s'empare des richesses des Templiers et leur intente un procès. Les principaux chefs sont arrêtés (1307) et nombre d'entre eux brûlés entre 1310 et 1314. Philippe le Bel meurt le 29 novembre 1314 au Château de Fontainebleau des suites d'une chute de cheval survenue lors d'une partie de chasse.
Philippe IV dit Philippe le Bel ou le Roi de Fer (1268 - 1314), de la dynastie des Capétiens, fut roi de France de 1285 à sa mort en 1314. Fils de Philippe III le Hardi et d'Isabelle d'Aragon, il intervient en Flandre, provoquant un soulèvement général. Battu par les milices urbaines à Courtrai (1302), il parvient néanmoins à soumettre les cités en 1304. Par ailleurs, il étend son royaume à l'est. Mais son règne est avant tout marqué par le grave conflit l'opposant au pape Boniface VIII. Entouré de légistes (Pierre Flote, Enguerrand de Marigny, Guillaume de Nogaret) imbus de l'idée de la toute-puissance royale, Philippe le Bel cherche à renforcer ses prérogatives. Le conflit débute à propos de la levée des décimes (1296) et rebondit avec l'arrestation par le roi de l'évêque de Pamiers (1301). Sur le point d'excommunier Philippe le Bel, le pape est victime à Anagni (Italie) d'une conjuration ourdie par Nogaret (1303). L'élection de Clément V (1305), qui s'installe en Avignon, marque la victoire complète du roi de France. A l'intérieur, Philippe le Bel, animé par une volonté centralisatrice, accroît l'importance de la chancellerie et de l'hôtel du roi, et précise le rôle des parlements. Aux prises avec de graves difficultés  financières, il s'en prend aux Juifs et aux banquiers (les Lombards) dont il confisque les biens avant de les bannir. Puis il s'empare des richesses des Templiers et leur intente un procès. Les principaux chefs sont arrêtés (1307) et nombre d'entre eux brûlés entre 1310 et 1314. Philippe le Bel meurt le 29 novembre 1314 au Château de Fontainebleau des suites d'une chute de cheval survenue lors d'une partie de chasse. Jacques de Molay est né vers 1244 à Molay, Comté de Bourgogne, aujourd'hui Franche-Comté. Dernier grand maître de l'Ordre du Temple, il mène une carrière discrète en Orient. Elu à la tête des Templiers (1292 ou 1298), il est confronté à la chute des Etats latins après la prise d'Acre par les Mamelouks. De Chypre, où les chrétiens d'Orient se sont repliés, il anime alors la lutte pour la reconquête de Jérusalem, en s'appuyant sur une alliance avec les Mongols. Mais cette stratégie échoue. Convoqué en France par le pape Clément V pour discuter de la croisade et de la fusion entre les Ordres du Temple et de l'Hôpital, Molay se trouve pris au piège d'une machination qui porte un coup fatal aux Templiers. Toujours en quête de fonds, Philippe le Bel convoite leurs richesses. En les accusant d'hérésie et de pratiques obscènes, il obtient ainsi du pape Clément V l'arrestation des Templiers résidant en France. Comme de nombreux frères, Jacques de Molay est arrêté le 13 octobre 1307. Sous la torture, il avoue les faits reprochés et il est emprisonné. L'Ordre est dissous par le pape Clément V en avril 1312. Les biens des Templiers sont donnés aux Hospitaliers et à divers autres ordres de moines soldats. En 1314, Jacques de Molay comparaît à nouveau, revient sur ses aveux et refuse de renier son ordre. Le 18 (ou 11 ou 19) mars, il meurt sur le bûcher.
Jacques de Molay est né vers 1244 à Molay, Comté de Bourgogne, aujourd'hui Franche-Comté. Dernier grand maître de l'Ordre du Temple, il mène une carrière discrète en Orient. Elu à la tête des Templiers (1292 ou 1298), il est confronté à la chute des Etats latins après la prise d'Acre par les Mamelouks. De Chypre, où les chrétiens d'Orient se sont repliés, il anime alors la lutte pour la reconquête de Jérusalem, en s'appuyant sur une alliance avec les Mongols. Mais cette stratégie échoue. Convoqué en France par le pape Clément V pour discuter de la croisade et de la fusion entre les Ordres du Temple et de l'Hôpital, Molay se trouve pris au piège d'une machination qui porte un coup fatal aux Templiers. Toujours en quête de fonds, Philippe le Bel convoite leurs richesses. En les accusant d'hérésie et de pratiques obscènes, il obtient ainsi du pape Clément V l'arrestation des Templiers résidant en France. Comme de nombreux frères, Jacques de Molay est arrêté le 13 octobre 1307. Sous la torture, il avoue les faits reprochés et il est emprisonné. L'Ordre est dissous par le pape Clément V en avril 1312. Les biens des Templiers sont donnés aux Hospitaliers et à divers autres ordres de moines soldats. En 1314, Jacques de Molay comparaît à nouveau, revient sur ses aveux et refuse de renier son ordre. Le 18 (ou 11 ou 19) mars, il meurt sur le bûcher.